UV-A, UV-B, UV-C, quels sont leurs effets sur l’eau, les micro-organismes, la santé ?

Verre d'eau

Tout ces joyeux photons font partie du spectre lumineux, ce sont des ondes electro-magnétiques, mais notre œil ne les voit pas. Ils sont tout en bas du spectre, à l’opposé des infrarouges.

Les UV-A

Commençons par les plus abondants, et de loin, les UV-A, qui représentent 5% du rayonnement solaire. Ils sont inoffensifs, mais peuvent aider à lutter contre les maladies de peau. Ils sont globalement indispensables à notre équilibre, et ne provoquent qu’un léger hâle de la peau après quelques heures d’exposition. Une exposition supérieure à quelques heures par jour n’est pas recommandée, bien que sa nocivité à long terme ne soit pas clairement prouvée.

Ils sont très répandus dans les produits industriels : polymérisation des colles, séchage en imprimerie et sérigraphie, séchage et polymérisation des vernis à ongles, lumière fluorescente en night-club, etc…

Purificateur d'eau LaVie

Purifiez votre eau du robinet grâce aux UV-A de LaVie

Les purificateurs d’eau UV-A LaVie® fonctionnent sans filtre ni entretien et vous permettent de purifier votre eau du robinet en 15 minutes.

Ils utilisent une technologie innovante, brevetée et exclusive à LaVie® : la photolyse du chlore par rayonnement UV-A.

Ce traitement permet l’abattement du chlore et de ses dérivés, des composés chimiques tels que certains pesticides ou traces de médicaments, des goûts et odeurs que l’on peut rencontrer dans l’eau du robinet.

Le résultat, très qualitatif, permet de tirer un trait définitif sur la consommation d’eau en bouteille plastique.

L’empreinte carbone liée à la fabrication du tube aluminium du purificateur d’eau UV est neutralisée en quelques jours d’utilisation par rapport à la consommation équivalente d’eau en bouteilles plastiques.

Les UV-B

Les UV-B sont clairement cancérigènes à haute dose, d’où les réglementations sur les cabines de bronzage de plus en plus strictes à cause des cas de cancer de la peau, en particulier. Ils sont responsables des “coups de soleil”, qui peuvent arriver après seulement 30 minutes d’exposition pour les peaux fragiles.

L’atmosphère en filtre une grande partie, ce qui nous permets d’affronter le soleil de midi sans trop de risques.

Ils sont très peu présents dans les produits commerciaux, à part pour quelques reptiles et les cabines à bronzer.

Les UV-C

Les UV-C sont mortels pour l’homme et à peu près tout ce qui vit sur la planète. Il n’y en a pas sur terre, car ils sont bloqués par la couche d’ozone (souhaitons qu’elle reste là, car sinon il faudra vivre sous terre…).

L’homme arrive à les produire avec des lampes à mercure ou des leds, principalement pour leurs effets sur l’ADN bactérien.

En savoir plus sur les UV : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ultraviolet

Les UV et l’eau

Alors, concentrons-nous sur l’eau, et les organismes vivants indésirables à l’intérieur .

Les UV-C sont utilisés en stérilisation, ils arrivent à affecter l’ADN des bactéries et le faire muter. Cela bloque la division bactérienne.

Si vous buvez une eau chargée de bactéries flashée aux UV-C, vous boirez donc ces bactéries, vivantes pour la plupart, mais avec la garantie que ces bestioles ne se reproduiront pas pendant la digestion. Ainsi, vous serez “sauvés”, mais vous n’améliorerez pas le goût, l’odeur, ou les aspects physico-chimiques de l’eau. C’est pour cela que l’on parle de stérilisation (et encore, pour tuer les bactéries, il faut tripler la dose, et pour certains virus la multiplier par 10.)

Vous pouvez donc faire l’acquisition d’une bouteille UV-C si vous souhaitez consommer l’eau d’un lac ou d’une rivière, sous réserve qu’elle ne soit pas chargée en éléments chimiques, pesticides, traces de médicaments, etc…

Certaines marques les documentent comme purificateurs d’eau, c’est entièrement faux. En particulier, les mauvais goûts et odeurs dans l’eau du robinet sont principalement provoqués par les 500 sous-produits du chlore, dont certains cancérogènes avérés, qui ne seront nullement affectés par les “flash” d’UV-C. A cet égard, même une “vulgaire” carafe filtrante fait beaucoup mieux

D’ailleurs, les grands acteurs de l’eau utilisent l’UV-C pour leur rapidité d’action, mais en fin de traitement, juste avant la chloration pour transport dans le réseau public.

Mais, quand je vois des entreprises françaises s’équiper de traitement UV-C à led sous évier à 1300€, je crie au scandale : il n’y à pas de bactéries dans l’eau du robinet en France, rien ne sert de tenter de les éliminer…

C’est aussi navrant que d’acheter un adoucisseur d’eau (1000€, très polluant) pour améliorer le gout de l’eau : qui préfère boire de l’eau salée passée à travers des résines et du plastique pour éviter d’absorber du calcium ?

Donc, un dernier rappel, les UV-C ne peuvent pas “purifier” l’eau, sauf à croire que purifier signifie tuer une bactérie pour la boire morte, je vous laisse conclure.

Les UV-A sont mis à profit pour leur propriété bactéricide dans le procédé SODIS (solar disinfection) mis au point par l’ewag et largement utilisé dans les pays en développement. On expose des bouteilles en plastique au soleil pendant plusieurs heures pour en éliminer les germes pathogènes, cela diminue largement les cas de dysenterie, par exemple.

désinfection solaire

La désinfection solaire de l’eau, aussi connue sous le nom de SODIS (pour Solar Disinfection), est une méthode pour désinfecter l’eau en utilisant seulement les rayons solaires et des bouteilles en polytéréphtalate d’éthylène (PET) : source Wikipedia

Les UV-B ne sont quasiment pas utilisés pour le traitement de l’eau, car les plastiques et le verre y sont opaques.

LaVie est-il différent ?

Utiliser des UV-A pour leur côté bactéricide n’est pas brevetable, car connu de l’homme de l’art depuis des décennies, nous avons donc breveté bien autre chose.

Attachez vos ceintures, on attaque la plongée dans cette magnifique innovation. Il va falloir passer par l’explication rapide de ce qu’est un processus d’oxydation avancée, famille dont LaVie fait partie.

La technique est simple : on envoie un principe actif dans l’eau (eau oxygénée dans les procédés les plus courants, soit H2O2), qu’on détruit ensuite par bombardement de photons UV. Cette explosion génère des radicaux, qui par rebond vont décomposer tout ce qui n’est pas de l’eau en éléments simples.

L’impact environnemental des osmoseurs d’eau

Détaillons maintenant l’impact environnemental : Quatre filtres et une membrane non recyclable par an, et plus de 60% de l’eau d’entrée qui part en soupe concentrée par l’évacuation, dans l’environnement. Vous payerez bien sûr pour cette eau gaspillée par ce procédé dans votre facture.

Vous avez toujours envie de vous équiper d’un osmoseur ? Testez auparavant notre système LaVie, nous faisons des miracles sur des eaux très chargées en minéraux, vous pourrez de toute façon renvoyer le produit s’il ne vous convient pas. Il n’y a pas d’installation, pas de filtre à changer, pas de pollution bactérienne à craindre, plus de trace de chlore ni de mauvais goût.

Les processus d’oxydation avancés (abréviation : POA), au sens large, sont un ensemble de procédures de traitement chimique conçus pour détruire des matières organiques (et parfois inorganiques) en suspension ou en solution dans l’eau d’effluents domestiques, urbains ou industriels, par oxydation via des réactions avec des radicaux hydroxyle (HO•) Source Wikipedia

Pesticide dans l'eau du robinet

Encore trop de pesticides dans l’eau du robinet. Source : Générations Futures

Les sociétés des eaux utilisent ces procédés très coûteux pour éliminer les substances persistantes dans les eaux usées : hormone féminine (beta estradiol de la pilule contraceptive), perturbateurs endocriniens, pesticides, traces de médicaments, etc…

Mais personne n’avait pensé à utiliser ce type de traitement pour l’eau du robinet, encore moins avec des UV-A en place des UV-C, et encore beaucoup moins avec comme principe actif le chlore contenu dans l’eau du robinet.

Nous avons ainsi créé le premier processus d’oxydation avancée domestique, sans risque, et doté d’autant d’efficacité que ses ancêtres. La nouveauté consiste donc à flasher le chlore dans l’eau du robinet avec un rayonnement UV-A, qui se transforme en radicaux oxydants (O, O3, H2O2, H-, CL-) et vient ainsi réduire la chimie autour de lui en sous-produits, augmentant ainsi le pouvoir oxydant du chlore par un facteur mille à un million, tout en le faisant disparaître, il fallait y penser !

Au passage, les corps vivants (bactéries, virus etc…) sont criblés de trous crées par ces échanges violents et ne peuvent sortir vivants ou en un seul morceau de ce traitement.

Concluons : évitez les produits à base d’UV-C si vous n’êtes pas un adepte du camping sauvage ou un habitant des îles Philippines, ne vous exposez pas trop souvent et trop longtemps au soleil pour votre santé, privilégiez sa lumière indirecte, et n’oubliez pas que les polluants des eaux usées sont en train d’apparaître dans l’eau potable, car devinez ou se fait le rejet des stations d’épuration : dans les fleuves, rivières ou les nappes phréatiques…que nous consommons ensuite sous forme d’eau en bouteille ou du robinet.

Ainsi, se protéger des micro-polluants peut sans doute être interprété comme un principe de précaution, mais penseriez-vous à boire des médicaments ou des pesticides, même en très petite quantité ?

De même, pensez-vous que boire le chlore, un biocide contenu dans l’eau du robinet, n’a aucun effet sur les bactéries de votre trachée ?

Vous êtes “consommactifs”, c’est à vous de juger.

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